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Supernatural >> Itw Jensen, Jared et les producteurs

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*Mary*

*Mary*
La maraine de Gina
La maraine de Gina

Voici une retranscription de l'interview (elle a été faite par darkfan, une fille du forum http://www.jrackles.com/forum )


Paul McGuire : « Nous allons
commencer avec la partie du programme qui se déroule en après-midi.
Merci à tous d’être venus. Sincèrement, merci de rester pour Supernatural et Everybody Hates Chris. Nous allons commencer avec un clip de Supernatural dans un moment. Supernatural a certainement la plus difficile plage horaire de la télévision. Mais elle réussie toujours à avoir un suivi loyal et dévoué.


Si vous ne me croyez pas, allez jeter un oeil aux blogs et sites
Internet, qui sont au nombre approximatif de 20 000, dédiés à Jensen et
Jared, et des centaines de vidéos sur Youtube.


(Applaudissements)


Les usagers de Youtube sont là. Clic.

Cette année la série a creusé plus profondément dans la mythologie
en introduisant tout un nouveau monde de chasseurs, en explorant la
destinée des frères et la signification des derniers mots de John à son
fils. Tout cela et Tricia Helfer de Battlestar Galactica;
actuellement en couverte du numéro actuel de Playboy; qui va apparaître
en tant qu’invité spécial. Excusez la pub involontaire pour la chaîne
concurrente Fox. »





Question : « Pourquoi n’est-elle pas présente ? Le sera-t-elle à la soirée ? »





Paul McGuire : « Nous verrons. Je ne sais pas. Après ton comportement ce matin, Tom [Jicha] (NDLR : éditorialiste), je n’en suis pas sûr.


(Rires)


En tout cas, la série a fait un bon score hier soir, en suivant le grand audimat de Smallville.
Donc une fois encore, c’est une série formidable, nous en sommes fiers.
Jetons un coup d’œil au clip avant de rencontrer les invités. Merci.


(Diffusion du clip)


Excellent clip d’une excellente série.

S’il vous plait, accueillez Eric Kripke et les stars Jared
Padalecki, Jensen Ackles qui viennent de se lever – ou bien peut-être
qu’ils ne se sont pas couchés pour être ici aujourd’hui avec vous ; et
le producteur exécutif Bob Singer. Ils vont répondre à vos questions à
présent. Merci. »





Robert Singer : « Pas toutes en même temps. »





Jensen Ackles : « Oui. Je dois me procurer une de ces vestes. »





Jared Padalecki : « Tu peux emprunter la mienne. »





Question : « Bonjour. Pour les
producteurs. Alors que la série avance, quel est l’équilibre -- est-ce
que cela va varier entre les épisodes autonomes et l’arc principal ? Il
est certain qu’on plonge dans des eaux profondes avec le personnage de
Sam, en ce qui concerne le grand secret.»






Eric Kripke : « Bien sûr. Non,
je veux dire, je pense – je pense que nous allons garder un équilibre
similaire que nous avions plus durant la seconde moitié de la première
saison. Je pense, vous savez que nous avons – nous pensons que les
épisodes autonomes sont notre gagne-pain et de divertissantes histoires
d’horreur. Mais à un intervalle de trois à quatre épisodes, nous avons
un grand épisode mythologique où nous faisons avancer l’histoire. Nous
allons continuer avec ça. Je pense que les épisodes mythologiques,
surtout ceux de la deuxième saison, deviennent assez importants. Et à
chaque fois qu’il y en a un, quelque chose de majeur se passe. Mais au
lieu d’avoir juste une sorte de – vous savez, ça devient engourdissant
au bout d’un moment si quelque chose d’énorme se passe, chaque semaine.
Et nous aimerions garder cela pour un grand mouvement futur, et
vraiment le faire quand on en aura l’occasion. »





Question : « Juste après elle justement, même point Il semblerait que vous aimez bien utiliser des acteurs de Buffy contre les vampires, X-Files,
des visages connus. Et ensuite, il a été dit que Tricia Helfer devrait
apparaître. Y-a-t’il d’autres invités spéciaux auxquels on peut
s’attendre ? De plus, allez-vous reprendre Amber Benson pour une autre
apparition spéciale ? »






Eric Kripke : « Nous adorerions
reprendre Amber. Ce n’est pas en projet pour le moment, mais j’adore le
personnage et j’aimerais le revoir à nouveau. Je dirais qu’en plus de
Tricia, nous avons – Emmanuelle Vaugier qui va participer à l’épisode
17, dans lequel elle a de chaudes relations sexuelles avec Jared.


(Rires)


Il nous a payé environ 200 dollars. »





Jared Padalecki: « C’est vrai, c’était des dollars canadiens. »





Eric Kripke : « Donc, je
suppose que nous allons engager Emmanuelle alors, puisqu’il il nous a
payé avec de l’argent, et donc nous devions lui donné une personne
attirante. Ensuite on projette de ramener beaucoup de personnages qui
sont apparus tout au long de la saison, qui ont déjà fait une
apparition dans la série. Surtout que l’on se prépare à l’arrivée de la
fin de la saison, donc Gabe Tiberman qui interprète Andy, un personnage
nommé Ava, vous savez, Jim Beaver qui joue Bobby, qui de façon
hilarante est nommé Bobby Singer. »





Jared Padalecki: « Quelle coïncidence. »





Robert Singer: « Incroyable. »





Jensen Ackles: « Quelles sont les chances? »





Eric Kripke : « Nous ramenons beaucoup de personnages, qui ont fait des apparitions pendant la saison, pour la course finale. »





Question: « Pourriez-vous parler un
petit peu de la première saison contre la seconde ? Avez vous atteint
le résultat escompté à ce moment de la série, et peut-être comment
avez-vous prit certaines décisions pour – qui vous ont amené à ce point
? »






Eric Kripke : « Oui. Je vais en
parler. Ensuite si Bob veut ajouter quelque chose, car on n’y
arriverait pas si on ne réfléchissait pas ensemble. Du point de vue
mythologique, je dirais que l’on est à peu près sur la piste que nous
voulions. Nous avons commencé avec – je dirais un plan sur une durée de
deux ans et demi à trois ans, où la mythologie expose ce que l’on veut.
Je dirais que nous évoluons à travers cette histoire exactement où nous
pensions que nous serions. Et à ce moment, nous entamons en quelque
sorte maintenant la saison 3, tout en discutant de la mythologie de la
saison 4. Donc nous sommes exactement sur cette piste. Je veux dire,
certaines choses se font déplacer, changer ou ajuster, mais le plan
général demeure le même. Mais par rapport à la première saison, vous
savez, nous ressentons – de notre propre point de vue, nous avons
l’impression que la série est meilleure qu’elle n’était lors de la
première saison. On s’est assis Bob et moi, au début de l’année, et on
a dit, « Ok, il a beaucoup de chose
dont on peut être fiers en ce qui concerne la saison 1, mais nous
voulons que la saison 2 soit meilleure. Et comment peut-on faire ça ?

» Et nous voulions que les histoires soient plus dynamiques, dire des
choses plus intéressantes, prendre plus de risques et vraiment essayer
de rendre la partie plus intense. Et je ne sais pas si le public a
ressenti cela, mais nous nous le ressentons. Nous sommes incroyablement
fiers de notre produit. Donc je dirais que le plus gros de la saison 2
c’est d’avoir apprit des erreurs de la saison 1. Nous avons appris à ne
pas faire d’insectes, de Wendigo ou de monstres qui semblent kitsch à
la caméra.


Et je pense que l’on a compris comment aiguiser un peu notre partie. »





Question : « Même avec – peut-être que
les acteurs pourrait nous en dire un peu aussi sur ce qu’ils ressentent
de la progression de la série en ce moment. »






Jensen Ackles : « Je pense que
ça marche très bien. Je sais qu’au début c’était une sorte de, vous
savez – pas une d’inquiétude, mais seulement quelque chose auquel je
pensais, jusqu’où ça va mener et où mène le voyage des personnages. Et
c’est réconfortant de savoir que Bob et Eric ont une sorte de bon plan
– du moins j’aime bien penser qu’ils ont ce grand schéma dans leur
bureau et que tout est planifié. Mais c’est le cas, ça a suivit en
quelque sorte leur plan. Et ça nous aident également en tant
qu’acteurs, jouer ce que l’on est censé faire de semaine en semaine et
de garder ceci en accord avec là où nous devons aller. Donc je suis
excité de la tournure que ça prend, et je pense que ça ne peut que
s’améliorer. »





Jared Padalecki : Je suis tout
aussi excité à propos de la saison 2 par rapport à la première. Je
pense que dans la première saison il y a une courbe d’apprentissage
pour tout le monde. Les acteurs découvrent les personnages. Les
scénaristes et créateurs découvrent ce qui marche, et qui se débrouille
bien avec le dialogue, qui se débrouille avec l’histoire, ce qui marche
et ce qui ne marche pas. Comme tu l’as dit, tu dois faire un Wendigo et un Bugs pour comprendre qu’il ne faut pas en faire. »





Eric Kripke: « Nous, vous ne voulez pas en faire. »





Jared Padalecki : « Oui. Jensen
et moi-même devons trouver en quelque sorte une expression faciale,
juste pour la voir deux mois plus tard, et se dire « Ho Mon Dieu, pourquoi ? Pourquoi est-ce que j’ai fait ça ? »
Donc je pense que nous sommes définitivement – et vous pouvez le
ressentir au nord, à Vancouver où nous filmons, que nous nous sommes
vraiment – à présent, c’est comme une machine bien huilée. Je me
rappelle, la saison dernière, parfois recevoir un scénario ou juste me
pointer dans la journée et me dire « C’est comme si je reprenais tout depuis le début, comme si soudainement c’était le jour où nous avons filmé le pilote.
» Et l’on ne ressent pas du tout ça cette année, et ça vient du fait
que tout le monde se sent plus comfortable. Et je ne comprends pas –
vous avez, jai entendu « déclin en deuxième année » «les deuxièmes saisons sont dures »
-- par ce que je suis si fier de ce qui se passe pour l’instant dans la
saison. Je pense vraiment que l’on fait reculer les limites de
l’impossible. J’adore le fait que des choses se passent, qu’Eric et le
restent des scénaristes ne répondent pas aux questions par d’autres
questions mais plutôt qu’ils réalisent vraiment quelque chose. Il n’y a
rien d’autre qui me frustre plus qu’un fan de séries télévisées qui se
dit à lui-même « Oh, c’est à ce moment là que l’on va découvrir ceci … Oh, maintenant ils nous fusillent de cette façon.
» C’est comme si ils jouaient avec vous. Donc je suis vraiment heureux
avec la deuxième saison. Et ce serait vraiment honteux de ne pas voir
ce qui se passera dans la quatrième saison, donc - »




(Rires)





Eric Kripke : « C’est vrai, c’est vrai. Je suis tout à fait d’accord. Je veux dire si on ne trouve pas un plan sur sept saisons --





Jared Padalecki: « Oui, oui, oui. »





Jensen Ackles: « On va conclure tout ça. »





Jared Padalecki: « Ca va être tellement mauvais. »





Question: « Comment avez vous décidé de faire la chose totalement incroyable de réparer la voiture? »





Robert Singer : « C’est Supernatural.»





Question : « Combien y avait-il de voitures ? »





Jensen Ackles : « Il faut avoir cette voiture. »





Eric Kripke : « Il y a environ, je crois – combien y a-t-il d’Impala là bas ? »





Jensen Ackles : « Quatre. »





Jared Padalecki : « Quatre. »





Eric Kripke : « Il y en a quatre. Vous savez, c’est comme l’Homme qui valait trois milliards. Meilleur, plus fort et plus rapide. »





Jensen Ackles : « Absolument. »





Question : « Il semblerait qu’ils y aient beaucoup de citations qui proviennent d’ X-Files
: scénaristes, peut-être quelques réalisateurs. A quel point cela vous
a-t-il influencé, et avez-vous vu beaucoup de transfert de la part des
fans d'X-Files vers votre série ? »






Eric Kripke : « Bob ? »





Robert Singer : « Je ne sais pour les scénaristes, mais John Shiban, qui est producteur exécutif avec nous, faisait partie de l’équipe d'X-Files. Et nous avons Kim Manners, qui a dirigé plus d’épisodes d’X-Files que je n’ai fait de séries au total. Mais c’est à peu près tout pour les gens d’X-Files.





Eric Kripke: « Nous avions Tony Wharmby—





Robert Singer : « C’est vrai. »





Eric Kripke : -- qui a fait l’épisode sur les vampires l’année dernière. »





Robert Singer : « Mais je ne
crois pas qu’on y pense vraiment. C’est quelque chose auquel on fait
quelles fois références, mais je pense qu’on y fait plus référence dans
le sens «Eh bien, ca marchait pas mal dans X-Files, mais comment fait on pour utiliser cette idée différemment, pour que ca ne ressemble pas à X-Files?» On essaye d’être vraiment et seulement Supernatural





Question: « Je ne parle pas de le
piquer ou quoi que ce soit. Je me demande seulement si les fans de la
serie qui aiment ce genre d’écriture le réalisent –






Jensen Ackles : « Je suis définitivement entré en contact avec des gens qui étaient de grands fans – des fans assidus d’X-Files qui sont devenus des fans de Supernatural.
Et je pense qu’ils aiment sincèrement ça, vous savez le parcours à deux
que c’était – vous savez, comme celui qu’on avait avec David et
Gillian.





Jared Padalecki : « Il est bien plus beau que Gillian. »





(Rires)





Eric Kripke : « Je dirais aussi
que je pense – je veux dire, en parlant de ça, en termes de fans – vous
savez, je veux dire que je pense qu’X-Files
– les gens qui en sont fans, tendent à réagir à cette série, car je
pense que nous travaillions très dur pour avoir une série
compréhensible. On se tue au travail pour lui donner de la maturité et
de la sophistication. Je dirais que pour la saison 1, on se préoccupait
seulement de faire un film d’horreur chaque semaine. Cette année on
s’occupe vraiment des personnages – de leur donner plus de profondeur,
et quelques intrigues compliquées et intéressantes. Et je pense que les
fans d’X-Files ont réagit à cela. Très franchement, mon but est de faire découvrir la série au plus grand nombre de fans d'X-Files,
là dehors, qui ne la connaissent pas encore. Et nous essayons – dans
cet enfer qu’est, vous savez, le jeudi à 21h, je pense qu’on essaye de
saluer de la main et dire –





Jensen Ackles : « Regardez-moi. »





Eric Kripke : « Ceux qui ne veulent pas regarder, comme des docteurs coincés dans une salle d’urgence –


(Rires)


-- comme les personnes qui sont là dehors, qui sont des fans d’X-Files, « On est là », et « Regardez et nous pensons qu’on fournira quelque chose qui vous satisfera vraiment
Et vous savez, ils sont là dehors, et nous avons en fait –
personnellement – j’aimerais en trouver le plus possible, les amener,
et les amener, en quelque sorte à la soirée, car je pense qu’ils y
passeraient un bon moment. »

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*Mary*

*Mary*
La maraine de Gina
La maraine de Gina

... Suite

Question : « Vous avez utilisé le
terme « mythologie » plus tôt. C’est le genre de mot qui en quelque
sorte effraye des téléspectateurs potentiels car ils ont peur de
manquer la danse et de ne pas savoir tout ce qu’il se passe. Comment
trouvez vous l’équilibre entre, vous assurez de rendre la série
accessible, sans pour autant tromper les fans qui sont là depuis le
début ?»






Eric Kripke : « Et je vais répondre cela – c’est drôle, je vais répondre en me référant aussi à X-Files. Et je dirais que la seule chose dont on parle en termes d’X-Files,
bien que Bob a tout à fait raison, pas d’idées spécifiques, on parle de
leur gestion de la mythologie, spécialement dans les trois, quatre
premières saisons. Je dirais qu’une fois qu’ils ont atteins la saison
17 ou peut importe, vers la fin, une fois qu’ils ont leur dernière
saison, la neuvième peut-être, ils sont beaucoup trop enveloppés dans
la mythologie, et plus personne ne pouvaient participer à la fête. Mais
les deux, trois premières années, à l’intervalle de quatre ou cinq
épisodes, il en avait un mythologique. Mais leur gagne-pain et le
notre, c’est les épisodes autonomes. C’est pourquoi nous pensons que
les gens peuvent toujours participer à la fête, même lors de la saison
3, parce qu’en fin de compte, tout le concept de la série c’est deux
frères sur la route avec des tronçonneuses dans leur coffre, qui se
battent contre les choses qui surgissent dans la nuit. Voilà, c’est
toute la série. Et les gens peuvent regarder cela et apprécier les
histoires d’une semaine à l’autre qui ont un début, un milieu et une
fin. Et c’est pourquoi on ressent qu’on peut toujours – peut importe
jusqu’où on va, on ressent toujours que l’on peut amener de nouvelles
personnes sous notre tente. Donc je veux dire que c’est en quelque
sorte le plan. On ne sera jamais comme ça – on ne l’est pas – seulement
parce que ce n’est pas notre genre. On ne fait pas une série comme Alias, ou Lost.
Nous ne faisons pas une série qui a juste une longue histoire, vous
savez, ou une longue mélodramatique mythologie. C’est une sorte de – on
y touche, mais plus souvent que jamais, c’est juste – c’est à propos de
deux gars qui traquent et tuent des choses. C’est ardent, du plaisir
pur, et une sorte de tour de montagnes russes. »





Question: « Si je suis bien ce que
vous dites, à votre avis quel pourcentage du succès de la série,
jusqu’à présent, est dû à la relation entre les deux frères par rapport
aux aspects surnaturels ? »






Eric Kripke : « Je dirais que c’est dû à 99 % à la relation entre les deux frères et 1% de tout ce que Bob et moi pouvons inventer. »





(Rires)





Question : « Les gars, pouvez vous
nous parlez de l’ambiance qui règne lorsque vous travailler ensemble,
et comment votre relation c’est développée ? »






Jensen Ackles : « Nous deux ou …..





Question : « Oui. »





Robert Singer : « Ils s’en fichent de nous. »





Jensen Ackles: « Lui [Robert
Singer] et moi, nous nous connaissons depuis longtemps. Ca c’est
produit, en quelque sorte, dès le début. Je pense dès qu’on s’est
rencontré. »





Jared Padalecki : « Oui. Je
pense aussi loin que – je pense que c’était assez facile. Je ne pense
pas – ces gars l’ont peut-être fait par dessein ? On est assez
semblables. On a les mêmes distractions et passe-temps, et on est tous
deux des gars assez décontractés On prend notre boulot très
sérieusement. On adore travailler sur nos personnages, avoir du bon
temps, et garder une bonne ambiance sur le plateau de tournage. Et on a
juste – on a juste tilté. J’ai définitivement travaillé avec un bon
nombre de personnes – et je suis sûr que lui aussi – et je me disais «Oh,
mec, je vais encore travailler. Je dois juste garder ma langue dans ma
poche, et éviter de dire quelque chose qui me reviendra en pleine
figure ou juste fermer ma bouche et faire mon boulot.
» Mais on se marre bien. On a une équipe fantastique à Vancouver, et ça a juste été assez naturel. »





Jensen Ackles : « Je pense
aussi que c’est l’amour que l’on a en commun, pour la série. On fait
attention l’un à l’autre quand on travaille avec des réalisateurs
invités ou machin, bidule chouette. Et je pense que l’on veut vraiment
que ce soit un superbe programme. Donc quand on travaille, si je vois
quelque chose qu’il fait ou qu’il voit quelque chose que fais, il y a
cette relation, vous savez, très ouverte. On est capable de se parler,
de se dire « He, faisons ça. Concluons ça. Mettons ça en route. Je pense qu’on a manqué un battement ici. ». Donc, c’est vraiment chouette d’avoir cette relation avec votre co-vedette. »





Jared Padalecki : « C’est vrai. »





Jensen Ackles : « C’est aussi très rare. »





Question: «Etant donné certaines des
choses que vous avez faites lors de la dernière saison et la lors de la
moitié de la seconde, à quel point est tordue la salle des scénaristes
? Ou non officiellement, à quel point c’est drôle?»






Eric Kripke: « C’est les deux à
la fois. C’est tordue et tellement drôle. Juste pour vous donner un
instantané de ma matinée, ce matin encore, on regardait ces photos de
mannequins aux torses éviscérés, que les gars des effets spéciaux au
nord nous ont envoyé, et Bob et moi, on se dit : « Tu
penses que cette blessure est trop grande. Est-ce que le loup-garou
arracherait leur visage ou arracherait seulement le cœur ?
» Et
ensuite vous jouez à ça, et pendant ce temps, au bout du couloir se
trouvent les salles d’éditions informatique où sont coupés trois
épisodes à la fois. Il y a toujours des hurlements sans fin qui
proviennent de cette salle. Donc il y a des salles d’où sortent les
actrices ou leurs cris. Nous, on regarde des creux sanglants. On doit
aller dans la salle pour résoudre quelle est la meilleure façon de tuer
un individu cette semaine. Et assez souvent on se regarde et on
n’arrive pas à croire que c’est notre boulot. On l’adore. »





Question : « Est-ce que c’est dur de
vous surpasser ? Vous avez fait pas mal de choses extrêmes. Deuxième
question, avez-vous déjà reçu une note de la chaine qui vous disait « Non. Pas ça » ? »






Eric Kripke : « Tu parle des notes de la chaine. »





Robert Singer : « Ils étaient supers, et il y a eu des négociations, et celles-ci sont toutes aussi drôles, que vous vous demandez, « C’est pour faire ça que je suis payé?». « On ne va pas faire de giclement de sang, mais on va montrer le cœur. Est-ce que ça va ?
» Donc, c’est drôle. Mais, non, ils ont étaient vraiment supers, et on
fait à peu près tout ce qu’on voulait faire. On a notre propre
gouverneur, et on est conscients qu’il y a des choses qu’on peut faire
et d’autres pas. Et nous deux, Eric et moi, je pense qu’on a dévoilé ça
aux réalisateurs, que la plupart du temps dans ce genre, vous êtes en
quelque sorte – il est mieux de ne pas voir, plutôt que de voir. Et
donc, il y a beaucoup de choses hors caméra dans notre série, et on
laisse ça, en quelque sorte, à l’imagination du public. Non, on a été
sympa avec la chaine. »





Eric Kripke : « Oui. C’était cool. »





Question : « Bob, à la suite des
commentaires sur la différence entre produire la série cette saison et
la saison dernière, et du point de vue de la production, quels
problèmes, auxquels vous avez-du faire face l’année dernière, avez-vous
réglés? Avez-vous été capable de donner aux deux stars ici présentes,
du temps libre? »






Robert Singer : « Non. Vous
savez, on fait de notre mieux pour leur donner du temps libre. Mais
franchement, les histoires nous emmènent où elles nous emmènent. Nous
sommes conscients du boulot qu’on leur fait faire. On essaye de les
aider occasionnellement. Mais parfois les histoires exigent qu’ils
travaillent à des heures pas possibles. Donc on les aime, et on
apprécie ce qu’ils font. Je suppose qu’on pourrait être plus sympa avec
eux, mais on ne ferait pas une aussi bonne série.

Mais ce qui est mieux c’est que nous sommes très chanceux de
garder la majorité de notre équipe, et donc cette saison on démarre sur
les chapeaux de roues. En quelque sorte, tout le monde sait ce qu’il
doit faire, et comment … de la meilleure façon possible. Et je pense
qu’on a mis plus de choses à l’écran, avec la somme d’argent que l’on
dépense, probablement qu’aucune autre série à la télévision. Et je
pense qu’on est tous fiers de la façon dont se déroule la série et de
ce qu’on accomplit avec des ressources limitées. »





Question : « Pour les deux acteurs,
les priorités de vos personnages a changé en quelque sorte -- vos
préoccupations ont changé entre la saison 1 et 2 où la principale
inquiétude de Sam, à présent, semble être, « Vais-je me transformer en quelque chose d’horrible? », et la principale inquiétude de Dean semble être « Est-ce que Sam va se transformer en quelque chose d’horrible? ».



(Rires)


Pouvez-vous parler de ce changement de préoccupation, alors que les personnages évoluent ? »





Jared Padalecki: « Je pense que
l’équipe a fait un excellent boulot en expliquant nos luttes
intérieures et notre arc principal sur toute une période d’épisodes, au
lieu de, vous savez, je suis du genre – Jess, je suis détruit après ce
qui lui est arrivé, et au prochain épisode j’embrasse quelques filles.
Ils nous ont donné du temps pour en quelque sorte s’occuper de quels
sont nos anciens démons et développer nos nouveaux. Et évidemment avec
notre père qui a trépassé, c’est un grand changement, et la mort de
l’ainé des Winchester, si je puis dire, a bien évidemment eu une énorme
incidence sur Sam et Dean. L’effet n’a pas été montré immédiatement, et
donc ça offre un moyen de la faire ressortir tout doucement, et je
pense que c’est pour le mieux de prolonger ça sur plusieurs épisodes,
pour vraiment expliquer les épreuves que je traverse, qu’il traverse,
et nous laisser le temps de nous y habituer et de s’impliquer . Je
pense que d’avoir fait ça graduellement a vraiment aidé. »





Jensen Ackles : « On était
assez conscients qu’il aurait une sorte de basculement alors que les
personnages avancent dans la saison 2. Et je pense qu’on était préparé
à ça, et que c’était agréable changement de ton pour la série aussi,
surtout pour nos personnages puisqu’on est capable de décortiquer
encore quelques couches et voir qu’est-ce qui fait vraiment marcher ces
gars.

Et je pense que quand Dean a perdu son père, c’était énorme pour
lui. C’était en gros comme, vous savez, il était le capitaine de son
bateau, et soudainement il se retrouve au milieu de nul part, et il a
son frère, et il essaye d’être un grand garçon, et maintenant son frère
a un problème. Il est très confus, et parfois il veut juste s’échapper.
Il se dit « Oublions ça. Sortons d’ici. » Donc je pense que ce changement de ton pour lui a été une bonne transition de la dernière saison où il était du genre « C’est ce qu’on fait. C’est ce qu’on va faire, et c’est comme ça que ça va se passer. Tu peux adorer ça ou aimer ça. » Donc ça a été agréable de faire ce changement, et je suis excité de voir où est-ce qu’ils vont aller à partir d’ici. »





Question : « Pour Jensen et Jared,
vous êtes à Vancouver depuis un moment maintenant, donc vous vous êtes
probablement acclimatés. Qu’est-ce que vous faites pendant vos rares
temps libre? Y a-t-il un équivalent là haut du club Viper (NDLR: night club en Californie) ? »






Jared Padalecki: « Quel temps libre ?


(Rires)


Je parle pour moi en tout cas, je suis loin d’être acclimaté. Je pense
toujours qu’il y a un mauvais temps. C’est intéressant. On n’a pas
beaucoup de pause. Et ce n’est pas de l’apitoiement ou quoi que ce
soit. On travaille seulement beaucoup. Pendant notre temps libre, comme
mes chiens sont là haut, j’adore passer du temps avec eux, et ma petite
amie monte me voir ou alors je descends la voir, tout en travaillant
sur le scénario. Vu que les scénarios arrivent continuellement Et même
entre les épisodes, vous venez de finir un énorme épisode mercredi, et
vous vous dites, ahhhh, un autre de terminé. Ca me fait me sentir bien.
Mon travail me fait me sentir bien, ou allons boire un Coors Light (NDLR : une marque de bière)
ou quelque chose dans ce genre. Et ensuite c’est 60 nouvelles pages de
scénario, vous savez, auxquelles il faut s’habituer. C’est beaucoup de
boulot, ça l’est vraiment, pendant neuf mois sur douze. Il aura des
semaines où je me réveillerais le lundi et j’irais travailler, et
ensuite Vendredi arrive et c’est juste une semaine qui passe à une
vitesse folle, et je me dis, « je n’ai pas appelé maman ».
Elle pense sûrement que je suis mort ou quelque chose comme ça. On n’a
pas beaucoup de temps libre seulement de la détente. Il y a
probablement quelques équivalents au Viper Room, mais ca ne ferait que
brûler la chandelle par les deux bouts. Ce ne serait pas très malin. »





Jensen Ackles: «C’est un boulot
à plein temps. Et on doit faire un effort pour partir faire quelque
chose, pour partir et se relaxer. Il y a quelques semaines, lui et moi
sommes descendus à Seattle pour voir un match des Cowboys (Dallas). On
est tout deux des fans des Cowboys. C’est quelque chose qu’on avait
prévu, et c’était super. On s’est bien amusé, mais c’était notre
Dimanche. »





Robert Singer : « Ils ont perdu. »





(Rires)





Jensen Ackles : « Donc, vous
savez, ces Dimanches sont précieux à nos yeux, et on essaye de s’en
accommoder. Mais, à part ça, c’est verrouillé, et on essaye de
travailler aussi dur qu’ils puissent nous faire travailler. »

...

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*Mary*

*Mary*
La maraine de Gina
La maraine de Gina

... Suite et fin.

Question : « Vous demandez-vous si
c’est avantageux ? Je suis de Dallas, donc je ressens votre douleur,
mais je suis originaire de l’état du Wisconsin. Et les gens disent que
lorsque l’on joue à Green Bay, il n’y a rien d’autre à faire que de se
concentrer sur le football (américain) quand on y est. Est-ce que c’est
quelque peu similaire à Vancouver ? Si vous filmiez la série ici
(Pasadena, Californie), est-ce que ça serait une expérience différente,
pensez-vous ? »






Jensen Ackles : « On a parlé de
ça. On parlait de comment ça se passerait si on filmait à la maison. Et
on s’est demandé à quel point notre temps libre serait différent, et
d’autres choses. Et pour être honnête, je pense que la quantité de
travail que l’on fait, serait la même La seule différence serait qu’on
soit capable de dormir dans nos propres lits. »





Jared Padalecki : « Ca reviendrait au même. »





Jensen Ackles: « C’est un truc à plein temps et on sévit contre ça chaque jour.”





Jared Padalecki: « Je pense que
notre temps libre serait probablement un peu plus reposant. Nous
filmions à 3 heures du matin, aujourd’hui à Vancouver et nous sommes
seulement sortit de sous la pluie, et de la neige, il ya 12 heures.
Donc au lieu de rentrer à la maison, qui se trouve à 1 heure de route,
de dormir dans votre lit pendant 8 heures et de vous réveiller pour se
diriger vers Pasadena, c’est plutôt comme aller dans un aéroport pour
passer 2 heures à la douane et l’immigration, passer 2 heures et demi
dans un avion, puis passer 1 heure à l’aéroport de Los Angeles à
attendre votre sac, car ils l’ont probablement égaré et passer une
heure de plus à rouler à travers Valley Side. Donc je pense que le
temps de travail serait pareil. Le temps libre – une fois de plus je
parle d’une chose dont je ne connais pas l’existence. »





Jensen Ackles : « On serait disponible pour de la publicité, les gars. »





(Rires)





Question : « Comment c’est passée la transition de la WB (Warner Bros) à la CW ? »





Eric Kripke: «Honnêtement, ça a
été une vraie amélioration. En parlant créativement, la majorité de
l’équipe se retrouve à la même place, donc je veux être sensible à eux.
En général, nous avons été beaucoup moins impliqués durant la 2e saison
que durant la première. On trouve en fait – seulement en parlant des
scénarios, de l’écriture et de la réalisation de la série, on trouve en
fait plus de liberté et de support avec la CW, et ils nous ont laissé
aller plus loin en termes de rendre la série exactement comme nous
voulions qu’elle soit. Et je pense que Bob et moi sommes extrêmement
reconnaissants pour ça. Et ensuite, on sent que la qualité des épisodes
montraient qu’on était capable de prendre des risques, de faire des
choses inhabituelles, des choses qui sont inquiétantes ou différentes,
et donc c’était super. C’était une expérience positive. »





Question : « Eric et Bob, vous aviez
en quelque sorte développé la fille du relais routier (Roadhouse). Il
semblait qu’elle aurait pu devenir une acolyte pour les deux frères, et
ensuite elle a disparu. Pouvez-vous commenter sur ce sujet ? Est-ce que
c’était la direction première ? »






Eric Kripke : « Eh bien, vous
savez, la réaction honnête est d’essayer des choses, et nous sommes
très intéressés dans l’idée d’agrandir le monde de la série. Nous
sommes très intéressés à l’idée d’introduire d’autres chasseurs et de
vraiment étoffer l’univers de la série et de continuer ainsi. Elle a
été présentée dans le but d’une intrigue amoureuse avec ce gars. Et la
façon dont les séries télévisées fonctionnent est d’essayer des choses
et certaines marchent, et vous en essayaient d’autres et lorsque vous
les voyaient à l’écran, elles deviennent en quelque sorte évidente.

Et c’est une fantastique actrice et un super personnage, et nous
sommes vraiment fier du travail qu’elle a fait. A l’écran, elle jouait
plus comme une amie, une supportrice de ces gars, qu’une provocante
intrigue amoureuse. Et parfois, c’est comme – vous devez vous ajuster
alors que les choses se passent et deviennent apparentes. Vous ne
pouvez pas forcer un jeton carré dans un trou arrondi. On l’a vu. On a
dit, vous savez, elle fonctionne bien en tant qu’amie des garçons, donc
allons plutôt dans cette direction. Donc c’est ce qu’on a fait. »





Robert Singer : « Pour compléter ce qu’il dit, elle revient en fait pour un épisode. »





Eric Kripke : « Oui. »





Robert Singer : « Elle est tout
à fait spectaculaire dedans, et ça l’aide vraiment à rentabiliser son
personnage. On l’aimait et on la reprise car on l’aime vraiment. Dans
ce prochain épisode, elle est vraiment superbe. C’est un super épisode
».





Question : « Vous faites de drôles de
rêves en faisant ce boulot ? Par exemple, lorsque vous rentrez chez
vous la nuit ? Est-ce que vous commencez –






Robert Singer : « Je rêve que je me retourne, et à la place de ma femme, je vois Eric. »





Eric Kripke : « C’est qui est terrifiant. Absolument terrifiant. »





Jensen Ackles : « Il va y avoir un épisode là-dessus. »





Robert Singer : « Non. Je n’en
ai pas. Quand vous décomposez ces histoires, elles deviennent une sorte
de commerce, ce genre de chose qui peut importe, surgissent de la nuit,
ce ne sont que des problèmes d’histoires pour nous, et donc je ne pense
pas que ça nous affectent dans ce sens. »





Jared Padalecki : « Dans mon
cas, je n’en fait pas non plus. Mais je n’aime rien de plus – en ce qui
concerne la série, je n’aime rien de plus que d’entendre quelqu’un
dire, « Mec, ca m’a vraiment fait peur. J’ai du me détourner de l’écran. » Notre actrice invitée, Tricia Helfer parlait de quelques épisodes, et disait « J’ai littéralement sursauté. Et mon mari a renversé de la nourriture au sol. J’ai crié et ça m’a effrayé.
» Et c’est tellement drôle pour moi parce qu’on est assit là à regarder
un bout de scotch ou quelque chose, et on s’enfuit, et on voit tout ça
se produire, et on sait – je regarde de temps à autre la série et je me
dis « Je me souviens qu’il y avait le type qui explose juste entre mes jambes


Donc je pense à toutes sortes de choses, une raison supplémentaire pour
laquelle j’essaye d’attendre un moment avant de regarder les séries,
car elles me seraient trop fraiches à l’esprit, si je les regardais à
la télévision. Mais j’adore entendre le fait qu’on effraye les gens, ou
qu’on leur fait faire des cauchemars, ou qu’ils ne peuvent pas
regarder. Pour ma part, je fais avec continuellement. Je me dis «Oh, oui. Jensen m’agrippait les fesses sur cette photo. » Je suis désolé de te balancer.


(Rires)


C’était hypothétique. »





Question : « Jensen et Jared, quand
est-ce que votre très anticipée pause de saison commence, et quels
projets avaient vous fait ? Quels boulots pourchassez-vous pendant
votre pause ? »






Jensen Ackles : « Avril. Je
pense qu’on commence la première semaine d’avril. C’est un peu trop tôt
pour commencer à verrouiller un projet pour la pause. On va
probablement commencer à chercher des choses dans un mois ou deux. Mais
il y a beaucoup de sommeil à rattraper, je pense. On a un voyage de
promotion - en Europe de prévu, je pense, que l’on va faire en Mai.
Mais à part ça, on retrouve nos amis et notre famille. »





Jared Padalecki : « A cette période l’année dernière, je me disais, mec, je vais dormir pendant trois mois. Et j’ai fini par –





Jensen Ackles : « Dormir pendant trois mois. »





Jared Padalecki : - voir mon
frère être diplômé d’école de médecine, voir mon pote se marier, et les
vingt-ans de ma sœur, et je suis allé voyager dans le monde. Cette
année je suis pressé de travailler. Une fois de plus, comme la dit
Jensen, c’est un peu tôt pour commencer. Pas mal de choses qui
auditionnent pour l’instant filme en février ou mars. Donc je pense que
dans deux mois, je vais commencer à lire des scénarios, auditionner, et
avec un peu de chance … »





Question : « Qui est le distributeur de Ten Inch Hero, et quelle est sa date de sortie ? »





Jensen Ackles: « C’est une
bonne question, et je vous répondrais prochainement car je n’en ai
aucune idée. Ils commencent tout juste à faire le tour des festivals et
des trucs dans le genre. Mais, franchement, étant à Vancouver, je suis
completement hors du coup sur ce genre de chose.»





Question: « Est-ce que ca a été filmé lors de votre dernière pause? »





Jensen Ackles : « Oui. Vers la fin de l’année dernière, en été. »





Paul McGuire : « D’accord. On
va conclure tout ça. Les quatre garçons seront à la fête ce soir. Je
voudrais remercier tout spécialement Jensen et Jared. Vous savez, quand
vous avez une série avec deux stars, ils travaillent d’arrache pieds, à
la différence de toute une équipe d’acteurs. Donc, une fois de plus,
merci à eux pour prendre le temps de descendre ici et d’être avec nous
aujourd’hui et ce soir. Merci. On est de retour dans deux minutes avec
Chris Rock et compagnie. »

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